Description
Kagan et Richter font partager chaque tourment et chaque envolée avec une passion si communicative qu’on a l’impression d’assister au concert. La richesse des climats, la formidable dynamique des nuances et la vigueur des tempos pétrifient l’auditeur qui sent dévore.
Fabuleux.
Diapason 12/95
On comprend dans des trois sonates, enregistrées au cours d’une série de concerts donnés en 1975 au Conservatoire de Moscou à la mémoire de David Oistrakh, décède l’année précédente, quel prodigieux violoniste était à tout point de vue, Oleg Kagan, qui n’avait pas atteint la trentaine, quelle osmose il pouvait atteindre avec Richter dans le répertoire ‘chambriste’ qui affectionnait. Une disque magnifique!
Répertoire 94